Paulette Preguimbeau : un florilège du paradis
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- Publié le dimanche 25 octobre 2015 09:19
- Écrit par Pascal Serre
Durant toute la première moitié du vingtième siècle le quartier de la Cité Bel Air, à Boulazac, a vécu au rythme des maraîchers et horticulteurs qui approvisionnaient les marchés de Périgueux. Aujourd’hui, au bas de la rue des bains, la famille Preguimbeau est la dernière représentante d’une activité qui a eu son heure de gloire. Trois générations se sont succédées entre Barnabé et le camp américain. Rencontre avec Paulette Preguimbeau aux yeux pétillants, à l’esprit solide et au cœur naturellement fleuri.
Georgette Gayet : le parfum de l’éternel printemps
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- Catégorie : Société
- Publié le mercredi 21 octobre 2015 09:08
- Écrit par Pascal Serre
Venus de Marsaneix, c’est en 1924 que les parents de Georgette Gayet ont acquis la maison où elle habite aujourd’hui. A Boulazac, dans le quartier de la Cité Bel Air. A l’angle des rues du Canada et de Vauquois. C’était le temps des « Péotards », des hommes frappés par la crise du monde rural et qui tentaient de s’adapter en se faisant embaucher aux ateliers de la compagnie de chemin de fer du Paris-Orléans situés à Périgueux. Georgette Gayet est une figure emblématique du quartier, au charme et à la personnalité joyeuse et ferme. Elle incarne aussi une réussite sociale dans cette province du Périgord qu’elle n’a jamais quittée.
Jean-Émile Lachaud : Le fils de l’épicière
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- Catégorie : Société
- Publié le mardi 20 octobre 2015 11:58
- Écrit par Pascal Serre
C’est la main sur le cœur que Jean-Émile Lachaud raconte son histoire et celle du quartier de la Cité Bel Air, À Boulazac, prés de Périgueux, où il a passé son enfance et où, aujourd’hui, il pratique une retraite active, dans l’ancienne épicerie tenue par sa mère. Un récit où se mêlent l’atmosphère de Jean Giono et des personnages à la Marcel Pagnol.
Les gazouilladesde Pascal Serre
Salon du Livre gourmand : maladresse ou mépris ?
Le superbe catalogue du dernier Salon du livre gourmand démontre parfaitement combien il y a les vedettes de la grande littérature nécessairement parisienne et les supplétifs de la littérature rurale. Alors que les « médiatiques » bénéficient d’une belle présentation, les auteurs Périgordins sont mentionnés à la page 180, dernière page, ridicule enclos intitulé : « éditions à compte d’auteur ».